Avec « Correria » et « Agwa », Merzouki célèbre le Brésil
Les deux pièces chorégraphiques pour onze danseurs de Rio de Janeiro, datant respectivement de 2008 et 2010, rencontrent toujours autant de succès.
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Les deux pièces chorégraphiques pour onze danseurs de Rio de Janeiro, datant respectivement de 2008 et 2010, rencontrent toujours autant de succès.
Le rythme irrésistible des claquettes et les paillettes de Broadway viennent effacer le temps d’une soirée l’effarement semé par la récente élection présidentielle trumpienne ; le rêve américain semble toujours au rendez-vous avec cette comédie musicale pimpante qui sonne gaiement l’approche des fêtes de fin d’année.
À la façon d’un semi-documentaire, Ashghar Farhadi capture la vie de jeunes adultes qui représentent la classe moyenne éclairée de Téhéran, évoluant dans un cadre urbain moderne semi-détruit, où tout est à reconstruire. Un drame vient secouer leur quotidien et les confronte à des choix cornéliens.
L’œuvre du peintre belge, décédé en 1967, est dévoilée de manière inédite dans cette rétrospective très attendue au Centre Pompidou. Il s’agit de la deuxième exposition consacrée à René Magritte par le musée, la première ayant eu lieu en 1979, peu après l’inauguration de l’établissement.
La crise de l’Europe, des migrants et réfugiés, la menace du terrorisme, la montée de la xénophobie et de l’homophobie, les violences faites aux femmes, le mariage pour tous : tout y passe… Un texte et une mise en scène transgressive, à l’image de Fassbinder.
L’esthétique tout en ombres et lumières de Daniel Jeanneteau ne pouvait pas mieux souligner la psychologie malade des protagonistes de l’américain Tennessee Williams, chacun hanté par ses propres démons, en quête d’une porte de sortie ou autre source de lumière salvatrice.
La monumentalité de l’œuvre d’Anselm Kiefer se traduit tout autant par la grandeur des pièces et la richesse des matériaux qui la construisent, que par la puissance des inspirations historiques et influences littéraires, la quête sempiternelle du passé et de la mémoire, les symboles récurrents de la vie et de la mort qui la nourrissent.
La controversée Christine Angot, auteur notamment de « L’inceste », continue d’explorer son vécu familial afin d’alimenter une œuvre vertigineusement autobiographique.
S’inspirant de plusieurs motifs de danses de couple, Christian Rizzo renouvelle le pas de deux, entre grâce et graphisme.
Coïncidence, effet de mode ou prise de conscience ? Les loups de Wall Street envahissent le cinéma américain ces derniers temps.
Avec « Bettencourt Boulevard ou une histoire de France », le dramaturge Michel Vinaver s’attaque à un dossier épineux : un scandale qui a secoué les années de présidence de Nicolas Sarkozy, nouant étroitement entreprise, argent et politique.
En 2014 à Avignon, il créait l’événement avec le spectacle-fleuve « Henry VI » ; avec « Richard III », le prodige Thomas Jolly conclut la première tétralogie shakespearienne par un show musical bluffant, sombre, caustique et endiablé, qui secoue toutes les mises en scène vues jusqu’alors.